En un mot : on n’enjoint pas quelqu’un à faire quelque chose, on enjoint à quelqu’un de faire quelque chose.

En un mot : on n’enjoint pas quelqu’un à faire quelque chose, on enjoint à quelqu’un de faire quelque chose.
En un mot : l’Office québécois de la langue française (OQLF) offre désormais sur une même page — la Vitrine linguistique — la possibilité de consulter ses deux précieux outils que sont la Banque de dépannage linguistique (BDL) et le Grand Dictionnaire terminologique.
En un mot : soi-disant s’écrit ainsi. Pas de °soi-disante et encore moins de °soit-disant, c’est tout… réfléchi! En revanche, la substitution puriste de prétendu est éminemment discutable.
En un mot : Ne pas confondre les deux noms : l’un est variable en genre, l’autre non. Une martyre ou un martyr ont subi le martyre. Mais le terme a aussi un usage plus atténué, moins définitif…
C’est un joli conte que Les mots immigrés. Rédigé à quatre mains par Erik Orsenna et Bernard Cerquiglini, il associe à la fois la veine créatrice du littérateur de La grammaire est une chanson douce et la connaissance profonde de la langue et de son histoire d’un éminent linguiste, par deux fois délégué général à la langue française et aux langues de France.
Lire la suiteEn un mot : on ne travaille pas sur Paris mais dans ou à Paris… sauf naturellement les aérostiers ou ceux qui imaginent l’urbanisme futur de la capitale.
En un mot : au niveau de a été, à tort, utilisé très fréquemment pendant une vingtaine d’années comme l’équivalent de en matière de, dans le domaine de.
En un mot : si vous n’avez qu’une préoccupation, qu’un ennui, qu’un souci, n’en faites pas un pluriel inconsidéré.
En un mot : est-on si sûr de connaître le genre de la personne qui devra lire la lettre de motivation?
En un mot : Il y va de… renvoie à l’enjeu (votre vie, votre santé, votre avenir); il en va de… annonce une comparaison (de la météo comme de l’astrologie, en plus fiable ça va de soi).
En un mot : on écrit bien il va de soi (ça va de soi). Il va de °soit est une graphie erronée.
En un mot : ils veulent devenir… riches, comme on dirait : elle veut devenir grande.
En un mot : «faire partie», c’est être une partie d’un ensemble. On expliquera aussi la différence entre «prendre parti» (sans e) et «prendre à partie».
En un mot : contrairement à ces chers Shadoks, pourquoi faire compliqué quand on peut faire simple ?
En un mot : avec l’infinitif passé, la règle d’accord du participe avec «avoir» s’applique… sans échapper toujours aux complications.
En un mot : accorder le participe passé se complique avec «vous» et «nous» qui naviguent entre masculin et féminin, singulier et pluriel.
En un mot : grammaire normative autant que descriptive, le Bon Usage reste, par son exhaustivité et sa précision, une référence incontournable.
En un mot : un verbe au pluriel serait ici assez singulier.
En un mot : «Mr» est aujourd’hui déconseillé, malgré l’«R» supérieur de Littré..
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