En un mot : on n’enjoint pas quelqu’un à faire quelque chose, on enjoint à quelqu’un de faire quelque chose.

En un mot : on n’enjoint pas quelqu’un à faire quelque chose, on enjoint à quelqu’un de faire quelque chose.
En un mot : soi-disant s’écrit ainsi. Pas de °soi-disante et encore moins de °soit-disant, c’est tout… réfléchi! En revanche, la substitution puriste de prétendu est éminemment discutable.
En un mot : on ne travaille pas sur Paris mais dans ou à Paris… sauf naturellement les aérostiers ou ceux qui imaginent l’urbanisme futur de la capitale.
En un mot : au niveau de a été, à tort, utilisé très fréquemment pendant une vingtaine d’années comme l’équivalent de en matière de, dans le domaine de.
En un mot : si vous n’avez qu’une préoccupation, qu’un ennui, qu’un souci, n’en faites pas un pluriel inconsidéré.
En un mot : est-on si sûr de connaître le genre de la personne qui devra lire la lettre de motivation?
En un mot : Il y va de… renvoie à l’enjeu (votre vie, votre santé, votre avenir); il en va de… annonce une comparaison (de la météo comme de l’astrologie, en plus fiable ça va de soi).
En un mot : ils veulent devenir… riches, comme on dirait : elle veut devenir grande.
En un mot : «faire partie», c’est être une partie d’un ensemble. On expliquera aussi la différence entre «prendre parti» (sans e) et «prendre à partie».
En un mot : grammaire normative autant que descriptive, le Bon Usage reste, par son exhaustivité et sa précision, une référence incontournable.
En un mot : «Mr» est aujourd’hui déconseillé, malgré l’«R» supérieur de Littré..
Lire la suiteEn un mot : Le Robert constate l’usage, même encore incertain; il ne le décrète pas.
En un mot : «Femme, j’écris ton nom».
En un mot : l’Académie (française) n’est pas le recteur de la la langue.